Image Alt

anastasiadate inscription

Le SMTI 82 en fait aussi son affaire « Une premiere » qui a ravi Lieila Athamni directrice du CIDFF 82 dont des services agissent Afin de briser le tabou des violences intrafamiliales.

« Violences intrafamiliales.

On en cause au article ? » fut effectivement le theme d’une rencontre inedite au SMTI 82. La sante au article ne peut occulter J'ai realite des violences au sein de la cellule familiale.

Des chiffres qui traduisent une realite qu’on ne saurait ignorer. En 2020 au sein d' notre pays, hors homicides, les forces de securite ont enregistre 159 000 victimes de violences conjugales (une hausse de 10% concernant votre an) commises par un partenaire, dont 139 200 femmes. Seules 3% des victimes de viols ou d’agressions sexuelles par conjoint ont depose plainte.

Briser le tabou

« Briser le tabou »… C’est le combat auquel le SMTI 82 (1) et le Docteur Gwenaelle Larmarcovai ont decide de s’associer en partenariat avec le CIDFF (1) en proposant une rencontre consacree a toutes les violences intrafamiliales (VIF) qui a reuni jeudi a Montauban des acteurs du secteur medico-social.

Les VIF ? Une realite en Ta rn et Garonne : « Mes territoires ruraux paraissent souvent plus confrontes a ces violences que des autres », note Leila Athmani qui animait cette rencontre avec Gwenaelle Larmarcovai, medecin du bricolage. Le Tarn-et-Garonne affiche un taux de 4,2 femmes victimes agees de 20 ans ou plus pour 1000 habitants du meme sexe et age. Au 82, les services de police et de gendarmerie effectuent quotidienne ment trois a quatre interventions liees a une telle problematique.

l'ensemble de concernes

L’objectif de une telle rencontre i  l'interieur aussi d’une unite de sante au boulot avait Afin de ambition de coller a une realite qu’on ne saurait abandonner a J'ai seule sphere privee. « 52 % des femmes victimes de violences conjugales sont salariees. Il est important Afin de ces femmes-la de maintenir le lien social, leur place dans l’entreprise, gage de leur autonomie financiere », explique le medecin du article.

d
Sed ut perspiclatis unde olnis iste errorbe ccusantium lorem ipsum dolor